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Les miennes mais pas que...

Quelques unes de ces poésie son de ma création mais pas toute : 
 
 
 
Je suis... 
 
Je suis un sortilège. 
Je suis un St Norvège. 
Je suis un chant d'oiseaux. 
Je suis le chène et le roseau. 
Je suis la brise matinale. 
Je suis le souffle hibernale. 
Je suis un gouffre infini. 
Je suis l'espoir qui s'oubli. 
Je suis universelle. 
Je ne suis pas réelle. 
Je suis qui je suis... 
 
 
 
 
Tout suprimer 
 
Quand je sors la nuit 
J'entend le souffle de la brise 
Je sens le démon de minuit 
J'ai peur! 
Pourtant pourquoi ? 
Tout le monde dit : 
Allons voyons 
Cela n'existe pas 
Où que j'aille je le sent 
Il s'approche et ce jette sur sa proie 
Il n'y a pas de survivant  
Juste des victimes... 
Le meutre et le crime 
Sont désormais de la vie courante 
Pourtant ils sont interdit 
Quest-ce qui nous permet de suprimer une vie ? 
 
 
 
 
L'amitier 
 
L'amitier  
C'est sacrée 
Ca c'est sur c'est pas donnée 
Toujours faut il la mériter 
 
Un ami de coeur 
C'est pas un lacheur 
C'est pour la vie 
Ou c'est finit 
 
Na pas l'oublier 
Ne pas l'ignorer 
Il faut y compter 
Un ami à qui dévoilé ses patits secrets 
 
Pour ma part j'en ait assez 
Toute cette amitier gachée... 
 
 
 
 
Mon lit 
 
Tout douiller  
tout chaud 
La nuit c'est ârfait  
Le matin c'est trop tôt 
 
Sous la couette 
Sur l'oreiller 
C'est sur c'est chouette  
On va s'éclater !!! 
 
Les paupière s'alourdissent 
On tombe dans un précipice 
Pour une nuit de beaux rêves 
Pas une nuit cauchemardesque. 
 
 
 
 
Cette poésie est une poésie composée. Extrèmement dur à faire : 
 
Le jardin  
 
Le jardin enchanté 
Le jardin matinale 
Le jardin bien-aimé 
Le jardin continentale 
 
 
La montagne 
 
Une montagne escarpée 
Sur une plaine enneigée 
Une pente pentu 
Sur un rêve éperdu 
un défault minuscule 
Sur une histoire incréduble 
Un jardin enfantin 
Sur une poésie du matin. 
 
 
 
 
Les poissons 
 
Mémoire des poissons dans les criques profondes 
Que puis-je faire ici de vos lents souvenirs, 
Je ne sais rien de vous qu'un peu d'écume et d'ombre 
Et qu'un jour comme moi il vous faudra mourir. 
 
Alors que venez-vous interroger mes rêves 
comme si je pouvais vous être de secours ? 
Allez en mer, laissez moi sur ma terre sèche 
Nous ne sommes pas fait pour mélanger nos jours. 
 
 
 


 

(c) Célie Gaudefroy - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 16.04.2005
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